De nombreux conflits dans les familles viennent des procédures de succession où les questions de patrimoine et d’héritage divergent. C’est un phénomène mondial, les affaires dans les tribunaux en majorité concernent les droits de succession. C’est assez normal, car ces problèmes résultent de l’incompréhension sur les procédures et lois qui régissent les successions. Il est conseillé de s’informer et de partager les informations sur les droits de succession à son entourage.
Les évolutions des droits de succession
Les procédures de succession et de partage de la fortune d’une personne décédée suivaient des principes reliés à des lois sur l’origine et les croyances. Il existe différents types de partage selon les pays et les traditions. Généralement, ce sont les enfants du défunt qui héritent des biens et des fortunes. Il y a ceux qui les partagent entre leurs sœurs et frères. C’est bien plus tard que naquit le système par testament. Le testament est un document qui sera utilisé pour définir les héritiers de la personne en question. Il pourra définir précisément le partage de ces biens à qui, et même quand. Et dans le cas où il n’a pas défini de testament, sa fortune sera partagée en toute égalité à sa femme et ses enfants. Si la personne n’a pas eu d’enfant, ce sont les membres de sa famille qui partageront ses biens, c’est-à-dire ses frères et sœurs.
Les droits sur la succession aux enfants
De nos jours, si le testament n’existe pas en cas de décès d’une personne, le système de succession et de partage de l’héritage doit suivre les lois actuelles. Dans les autres pays étrangers, les successions ne ressemblent pas à ce que l’on est habitué à voir. Certains suivent des procédures encore ancestrales et en relation avec leurs croyances. Les lois modernes elles stipulent que les partages doivent être égaux sans distinction du sexe ou de l’âge.
Les formes d’héritage sont nombreuses comme :
• les titres
• les biens immobiliers
• l’argent ou fortune
Dans des pays arabes ou en Afrique, il y a des inégalités lors des partages sur les héritages, car les fils sont plus favorisés que les filles. Ce n’est pas vraiment une surprise, car leurs cultures appuient ce genre de pratique de favoritisme.
La veuve et ses droits lors des successions
Dès qu’on parle de droit de succession et d’héritage, on se réfère de suite aux testaments. Mais ce qu’il faut aussi vérifier est la légalité concernant ce testament, car il n’aura aucun pouvoir sans être légal.
Si le défunt n’a pas fait de testament légal, la part d’héritage de la veuve est la même que celle de chacun de ses enfants. Et si la personne n’a pas d’enfant, la part se divisera en égalité entre la veuve et les frères et sœurs. C’est dans le cas où le défunt ne possède pas de famille que la veuve hérite de tout.